TRIBUNAL DES PRUD’HOMMES. Cadre à la BFC-OI depuis 1977, Jacques Berçot est devenu indésirable. Car trop vieux et avec un gros salaire. La banque a obtenu son départ après une transaction à l’amiable. Mais l’ancien salarié considère aujourd’hui qu’il n’était pas en état de signer et qu’il a été floué. Un dossier peu ordinaire.
C’est un homme brisé qui s’avance d’un pas lourd devant les conseillers prud’hommaux. A 58 ans, Jacques Berçot imaginait terminer sa carrière à un poste de direction plutôt que dans une enceinte de justice.
Le Journal de l’Île, mercredi 21 avril 2010