TRIBUNAL ADMINISTRATIF.La chambre de commerce est condamnée à indemniser un plaisancier dont le bateau, amarré dans le port de Sainte-Marie, avait été totalement détruit lors du tsunami, en décembre 2004. Un expert a considéré que le naufrage de la vedette avait été entraîné par la rupture du ponton de la CCIR.
Le 26 décembre 2004, un tsunami provoqué par une secousse sous-marine 9,3 sur l’échelle de Richter s’abat sur les côtes de Thailande, tuant plus de 200 000 personnes.
Le Journal de l’Île, mardi 21 juillet 2009